Le voyage, la suite

Bon voilà, aprés une bonne nuit de sommeil, et aussi une journée bien remplie, me revoilà pour continuer mon histoire.

Deuxième vol : suite
Je rentre donc dans l'avion, trouve ma place puis m'y assoie. Chaque personne a un écran personnel en face de lui, c'est la qu'on peut regarder des films à la demande, pour ne pas s'ennuyer pendant le vol. L'avion est organisé comme ceci : trois sièges, couloir, quatre sièges, couloir, trois sièges. Je suis à coté d'une fenêtre sur la gauche, mes deux voisins à droite sont un couple australien qui rentrent chez eux.
Durant le vol, j'ai tout le temps de me rendre compte de la présence de plusieurs enfants. Chacun décide de crier à un moment ou à un autre évidemment. Mais ç'aurait pu être pire, je dirais même que ça ne dérangeait pas.
A un moment, mon voisin direct vomit. C'est quelques temps aprés avoir mangé et avoir demandé à être servi d'une boisson alcoolisée (moi j'ai juste pris du jus de pomme à ce moment là). Ca sentait, mais par chance c'était l'odeur du repas, ç'a l'air bien dégueu ce que je dis là, mais je vous assure que ç'aurait pu être bien pire si jamais ça sentait autrement. Aprés ça les hotesses viennent et nettoient tout ça.

Rien d'autre de bien interessant à dire sur ce vol, j'ai regardé un film (Yes man de Jim Carrey). J'ai un peu dormi, regardé le paysage ... Aprés on peut dire que c'était long, j'ai eu besoin de m'étirer souvent à force de ne pas bouger.

Troisième vol : Bangkok - Sydney
On arrive à Bangkok. En sortant de l'avion je ressent le climat du pays, c'est chaud et humide, je n'aime pas trop cette sensation. Comme j'ai pu engager un peu la conversation avec mes voisins, je reste un peu avec eux dans l'aéroport pour être rassuré. Finalement on se perd de vue et je visite tout seul. Il n'y a rien d'interessant, la plupars des magasins sont des magasins de beauté. Rien de joli à part quelques peintures sur les murs. Je ne pense pas à les prendre en photo. Je retrouve ensuite le couple de voisins et on rentre ensemble. On repasse la sécurité et, confiant, je prend de l'avance sur eux. J'arrive à la sale d'attente, mais ils ne viennent pas. Alors je commence à prendre un peu peur, je ne suis pas sûr d'attendre à la bonne porte. Je demande à quelqu'un si c'est le bon vol, il me dit que oui. Je ne suis pas rassuré pour autant. Finalement un bébé crie ... je le regarde : c'est l'un de ceux qui étaient pas loin de moi. Phiew ... d'un coup je me sens mieux. Je me demande quand même ce que font mes voisins.
Il est temps de rentrer dans l'avion. Je reprend mon siège, et mes voisins finissent par arriver. Je demande "Where were you?" (où étiez vous?). Et là il rigole ... Il a pris ca pour une blague. Je n'insiste pas.
Le vol se passe comme l'autre. A part le passage où mon voisin vomit bien sûr. Evidemment puisque lorsque l'hotesse propose à boire, cette fois-ci il prend juste un coca. Juste avant sa femme lui a dit "not this time" (pas cette fois) en rigolant. Cette fois j'ai un peu lu et puis j'ai regardé Madagascar 2.

Troisième vol : Sydney - Christchurch
Il fait un peu plus froid à Sydney. En france, on m'a prévenu qu'il faut que j'aille vite. Alors je dis rapidement au revoir à mes voisins puis je me précipite pour passer la sécurités. Ca va, la queue est plutot courte. Il n'y a pas tant de monde que ca. Je trouve ma porte au bout d'une demi heure environ. Ca fait deux heures à tuer. Mais pas de problème! Puisque c'est là que je rejoint Florent avec qui j'aurais les mêmes vols.
On est chacun plutot content de se voir. On se raconte notre voyage. On a beaucoup de temps libre, alors on va juste à coté pour aller manger un peu. Je prend un sandwich et lui un café et des cacahuètes, puis une bouteille d'eau pour nous deux.
On embarque, on a quelques sièges de différence, mais on ne se voit pas. Il passent un film. Super! C'est "Yes man" ... arrgh bon tant pis. Je revoit le début puis je me sens fatigué. Finalement je dors pendant une grande partie du voyage. Et on atterit.

Quatrième et dernier vol : Christchurch - Dunedin
A Christchurch, il faut passer l'immigration. Il y a trés peu de queue. Lorque vient mon tour, il y a un problème avec mon passeport. Je m'inquiète. Une femme arrive et me demande de la suivre. Elle me rassure et me dit qu'il n'y a pas de problème. J'attend sur un siège qu'elle revienne. Evidemment je balise en attendant qu'elle revienne. Elle met un peu de temps. Elle finit par arriver. Puis je passe. Ouf!
Passé cette peur, je peux récupérer mon gros sac et puis me diriger vers la prochaine porte. Je suis "domestic flights". Comme un idiot je m'arrête alors que je suis encore dans "international flights". Je commence même à faire la queue pour m'enregistrer. A cet endroit il y a une balance pour voir si son sac n'est pas trop lourd. Il ne doit pas dépasser les 20 kg normalement, et le sac qu'on garde avec soi les 7 kg. Mon gros sac fais un peu plus de 18 kg et l'autre un peu plus de 7. Qu'à cela ne tienne! J'ai un gros Harry Potter que je transfère d'un sac à l'autre. Nickel. J'attend un peu, et je vois quelques gens qui remplissent un papier. Je leur demande si c'est obligatoire, ils me disent que oui et me disent où le trouver. Je le prend, et dessus je lis quelque chose du genre "pendant combien de temps comptez vous quitter la Nouvelle Zélande" ou "quelle raison vous pousse à quitter la Nouvelle Zélande". Tilt. Je ris de moi même et finalement je continue de me diriger vers "domestic flights".
Je retrouve Florent (alors que j'étais passé devant lui sans le voir, alors on a un peu galéré avant d'être à nouveau ensemble) et on trouve la porte de notre prochain vol. C'est super étonnant, car l'endroit est vraiment trés petit par rapport à ce qu'on a pu voir les dernières fois. Le plus surprenant est qu'on a eu à passer aucune sécurité cette fois. Quelle confiance de leur part! Les mêmes contrôles sur-sécurisés à l'arrivée, mais pour ce qui est interne à la Nouvelle Zélande, c'est totale confiance!
Le temps de prendre notre vol arrive. On entre dans un avion tout petit (il s'agit d'un ATR)! Et puis pas d'engin spécial qui va faire ventouse sur la porte de l'avion, là on rentre directement à pied en passant par l'asphalte, avec l'odeur du kérosene et tout!
L'avion décolle, et on passe une petite heure dedans. Rien d'exeptionnel. Puis il atterit. En sortant de l'avion, on sent bien la nature! L'odeur des vaches et tout, on est bien dans la cambrousse. Dans l'aréoport, Paul, celui qui est sensé nous amener à Dunedin, nous attend avec un papier sur lequel sont inscrits nos noms. Il nous accompagne jusqu'à sa voiture, et nous amène jusqu'à Dunedin. Rien de spécial à dire non plus. Il trouve la rue où je dois habiter, et m'y laisse. Là j'y rencontre Vivien. Mais ce sera l'histoire d'un autre post!

Voyage terminé!